Il en a un réconfort inquiétant dans l’apathie.
Les couleurs distillent en nuances de gris, il en a peu de raison de rigoler, de pleurer, de rager ou de commémorer.
Avec l’apathie, il n’a peu de raison de nous nous regarder, donc pourquoi prêter attention à ceux qui jouent parties dans nos vies à quotidienne, ou dans nos rites mensuels et hebdomadaires.
Nous restons immobile, passif et insensible.
C’est refroidissant la façon dont vous décrivez les choses…
L’indifférence est imprévu.
Il n’en pas beaucoup des gens qui ont l’intention à se détacher du monde qui leurs entoures. Peut-être nous arrivons à cette état d’esprit comme la réponse idéale quand nous nous sentons souvent dépassés. Il y a tant à faire, une grande partie du monde qui crient pour notre attention, que devenir apathique devient le choix facile.
De se soucier le moindre possible; ou
Autant que nécéssaire, objectivement.
Plus comme geste d’auto-préservation, nous prenons le recul des conversations, le plus que possible.
Restant à côté.
Fermant tous ce qui est hors de notre besoin de s’engager, coupant notre circulation avec le monde que nous sommes, et étaient toujours, profondément connecté.
Devenant engourdie, sentant la moindre des choses ou rien du tout.
C’est difficile de prêter attention à chaque petit détail, il y a une limite à ce qu’on peut donner de soi…
En dissociant, nous perdons vues à ce que nous pouvons donner, et nous échouons à voire combien nous sommes nécessaires.
Les discussions, au filage de queue car nous ne participons pas.
Une connexion est plus qu'une réponse de délibérer, c'est plus abstrait que notre sens de choix. Nous sommes connectés à plus que les personnes avec qui nous aimons ou désirons d’être connecter avec, la connexion est une question influence.
Tous ce que nous voyons, tous nos expériences, offrent connexion de l’un a l’autre, aux endroits, aux choses, dans des degrés variées.
Nous tous devons faire choix : de nourrissez ces associations, ou de les laisser dépérir ?
Nous pouvons infuser des aspects de soi; laissant des parties de qui nous sommes, laissant notre marques sur le déroulement des circonstances.
Ne ratons pas l’occasion.
Ne perdons pas vues à la beauté en connexion, cachés sous le voile de l’indifférence.
Alors, c’est qui qui a l’énergie de faire quoique sois avec chaque connexion créée à la quotidienne ?! Personne a cet temps !
L’énergie que nous gardons, pour mieux auto-préservés, est l’énergie que nous perdons.
Nous avons plus de nous que nous pouvons donner que nous réalisons.
Maintenant, c’est le moments de prendre conscience du pouvoir que nous pourrons porter aux communautés dont nous sommes affiliés. Offrant chacun entre nous une perspicacité de la valeur que nous avons toujours en nous à donner.
Notre valeur, notre énergie.
De servir et d’être servie par ceux qui nous entoure.
Rester ouverte aux possibilités.
Reconnecter.
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