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Writer's pictureRachelle Innocent

Prendre du recul : la communauté comme reflet de soi

Updated: Aug 28, 2022

Peu de choses dans ce monde sont aussi sous-estimées que la perspective.

Un moment tranquil, un petit ajustement, dans la façon que nous voyons le monde qui nous entoures.

Au travers l’année, ces moments additionnent, et après un point, nous nous trouvons en train de regarder notre réflexion, en choque devant la manière dont nous avons changées.

Réalisant à quel point que nous avons sous-estimées tous ces petits, indescriptibles moments, chacun contribues aux changements internes de soi qui sont fondamentaux et substantiels.

Les changements en termes de ce que nous considérons comme importants, à qui que nous attribuons de l’importance, tous très signifiantes, tous renforcés par nos perspectives.


C’est intéressantes comment vous pouvez grandement valoriser quelque chose, jamais questionnant sa permanence dans votre vie, d’avoir alors un complète changement en perspectif, qui traduise en vous mettant votre temps, soin et énergie, ailleurs.

La perspective est la preuve que même ceux entre nous qui sont le plus résistant à la changement, sont en train d’évoluer et d’épanouir malgré nous mêmes.

Élargir nos idéales, alors que les bouleversements qui arrivent dans nos croyances nous amène, vers et loin des personnes, endroits et expériences.

Cultivant une connaissance, de nous mêmes et ceux qui nous entoures.

Graduellement, avec temps et réflexion, nous devenons plus sensible au fait que les changements qui ont arrivés dans nos vies, sont vraiment des extensions et réflexions des changements en interne, spécifiquement.


Les conversations dans lequel nous nous sommes penchés et les autres que nous avons restés loin de, les nouvelles, les changements en polices, les hauts et les bas de la vie, tout qui sert à influencés nos perspectives.


En revanche, influençant et décalant nos perceptions de le monde et la manière dont nous allons naviguer nos environs, à l’avenir.


Souvent je perdes vues sur le niveau que les changements dans mes pensées, croyances et actions, actualise les changements dans les communautés dont je fais parties. C’est beaucoup plus facile à reconnaître le changement comme une force externe, au lieu de la voir comme un effet de ma propre accroissement et évolution.


N’est-ce pas ?


Éviter de voir le rôle que nous jouons en créant le monde qui nous entoures, nous exemptes de la requisse de prendre comptabilité des conséquences que nos rôles on mener en effet.


La participation dans les communautés requiert cette perspective.


Consciemment définissant notre rôle dans nos communautés, et la manière dont ce rôle évolues et change au cours de temps.


À quoi nous nous accrochons, et à quoi que nous lâchons prises ?

Les communautés qui nous rends fières, et ceux que nous acceptons ou tolérons à contrecoeur… ou même les communautés que nous nous dénonçons — tous ces perspectives, sont plutôt des réflexions de ce qui arrive en interne, plus que ce qui arrive autours de nous.

Nous sommes chacun une expression vivant de la relativité d’appartenance.


À mesure où nous sentons que nous appartiens, et à mesure que nous rejetions la désire d’appartenir, pour nous mêmes et les autres.

La manière dont nous nous voyons, est un influenceur puissant dans la manière que nous voyons et expérimentons le monde.

L’auto-portrait fait la fondation de chacun de nos points de vue du monde.


Une cycle qui perpétue au travers ces petit, subtile, scintillements de perspective.


Quand le monde interne est bousculé, le monde externe ressens moins certaines, moins invitantes et moins maniable.


Notre sens du monde, plus fréquemment que non, est dérivé dans les disruptions qui arrivent en soi.

Donc, la prochaine fois que vous vous regardez votre réflexion, faire point à répondre la question suivante :


Qui voyez-vous à ce moment ?








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